Mieke Willems
Economiste
La théorie des microcrédits, je la connais déjà depuis le temps de ma formation de base en économie du développement. Ensuite, grâce à des formations complémentaires en media et communication marketing, ma carrière s’est surtout orientée dans ce domaine. J’ai occupé des fonctions de management dans le marketing dans différents secteurs : les media (Roularta, Metro, Mediahuis), les services financiers (Vivium, Triodos) et l’enseignement (AMS). De plus en plus, j’ai recherché l’engagement social chez ces employeurs et parallèlement, je me suis engagée comme volontaire dans des projets sociaux internationaux. Donc, oui, je me réjouis de m’engager au sein d’Oikocredit pour contribuer à son développement.
L’argent rend possible le changement positif durable. Oikocredit offre du financement ET de l’accompagnement à des entrepreneurs débutants afin qu’ils puissent se construire un avenir durable. J’offre bien volontiers mon expérience et mes connaissances (la tête) et ma passion et mon dynamisme (le coeur) à Oikocredit.
Pierre Schmit
Finances et responsabilité sociétale de l’entreprise
Après plusieurs fonctions de contrôleur de gestion, puis de directeur financier dans différentes entreprises, dont la Banque Triodos, je combine actuellement les postes de directeur "fusions et acquisitions" et de directeur de la Responsabilité Sociétale de l'Entreprise au sein du Groupe Securex (Ressources Humaines). Interpellé depuis des années par les injustices générées par nos modes de fonctionnement économique, j'investis et je m'investis dans des organisations avec impact social, notamment le Rotary, mais aussi diverses coopératives actives notamment dans les énergies renouvelables. Oikocredit m'apporte une occasion rêvée de poursuivre cet engagement, de façon pratique et active.
Henri Loze
Ingénieur agronome
Voici des années déjà que je suis engagé au sein de VOOC et ensuite Oikocredit-be. Ma mère était l’un des membres fondateurs de VOOC en 1984. Mon métier me met souvent en contact direct avec des agriculteurs et villageois d’Asie, d’Afrique et des Caraïbes. Cela m’a fait comprendre à quel point des financements adaptés ainsi que le commerce équitable sont importants pour aider les gens à se mettre au travail de manière durable dans leur communauté.
Je reviens juste du Tchad, un des pays les plus pauvres d’Afrique où, outre la sécurité alimentaire, l’accès à une énergie « équitable » est extrêmement important. La production alimentaire y est possible si, en même temps, une énergie produite localement et à petite échelle permet de pomper de l’eau ou de conserver ou transformer des produits. Souvent, cela va de pair avec un investissement pour le développement de nouvelles formes d’énergie.